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La Nouvelle Lettre du Jeudi
29 décembre 2008

Hivernales et Nouvelles Solitudes

C’est l’aube, mais la nuit règne encore sur le causse enneigé. La neige continue de tomber. Le feu crépite. Image d’Épinal. Je ne sais si écrire ainsi entre veille et sommeil est une bien grande idée. Depuis de longs mois à présent un vif sentiment de...
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18 décembre 2008

Hivernales

Ma quando tu sarai nel dolce mondo, priegoti ch'a la mente altrui mi rechi : più non ti dico e più non ti rispondo.
17 décembre 2008

Hivernales et autres gloses

« Je ne puis ici traiter de tous à plein,car mon thème est long et m’éperonne tantque souvent la parole manque au fait.De six à deux se réduit notre groupe :Par autre voie me mène le sage guide,Hors de la tranquillité, dans l’air qui tremble.Et je viens...
15 décembre 2008

Nouvelles Hivernales

« Je dis ça maintenant, mais au fond qu’en sais-je maintenant, de cette époque, maintenant que grêlent sur moi les mots glacés de sens et que le monde meurt aussi, lâchement, lourdement nommé ? » C’est Beckett qui m’a amené à lire Dante. Dante affleure...
12 décembre 2008

Usonie

Il a souvent été déploré, ici même, que l’habitat détruit le paysage. Du moins tous les signes l’attestent ; il suffit d'observer comment se développe une ville semblable à Montpellier. Si la plainte est légitime et parfaitement compréhensible, elle prend...
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5 décembre 2008

Reliures

Tôt levé ce matin, c’était la nuit encore. À présent, le vent a chassé les nuages les plus légers, mais les redoutables mastodontes gris pâle demeurent. Il fait clair néanmoins. Lecture au petit-déjeuner de quelques paragraphes de Renaud Camus, Fendre...
3 décembre 2008

Hivernales et autres Solitudes

Grande est la tentation d’en finir, d’arrêter, de fermer ce blog, d’éteindre les lumières, de ranger les pinceaux, de se séparer du siècle dont à tout prendre, et au vu de ce qui s’annonce, on préférerait ne plus rien savoir. La neige tombe à gros flocons,...
2 décembre 2008

Solitudes de R., nouvelles

Solitudes de R., nouvelles
Rien ne m’a préparé à affronter cette obscurité qui est devenue au fil de mes travaux la constante à laquelle à défaut d’autres significations remarquables le lecteur peut s’accrocher. Encore que certains lecteurs y rechignent. Ce qui n’a guère d’importance...
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La Nouvelle Lettre du Jeudi
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