5 décembre 2008
Reliures
Tôt levé ce matin, c’était la nuit encore. À présent, le vent a chassé les nuages les plus légers, mais les redoutables mastodontes gris pâle demeurent. Il fait clair néanmoins. Lecture au petit-déjeuner de quelques paragraphes de Renaud Camus, Fendre l’air, livre par où je suis entré dans cette œuvre qui se confond avec la bibliothèque ; mais aussi lecture de Killalusimeno, version papier des Vaisseaux Brûlés. Puis rédigé des e-mails, lu et parcouru quelques pages virtuelles du blog d’Erik Viaddef, envoyé des remerciements pour la dédicace de Didier Goux. Hier soir, rouvert le Journal de Thoreau et lu quelques pages d’Emerson.
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